
C’est une calamité pour le territoire, à la fois environnementale et esthétique. La balade bucolique peut vite se transformer en parcours peu ragoûtant au détour de nos chemins. Le phénomène s’amplifie-t-il ? Les unes après les autres, les communes ont décidé de durcir le ton.
Il ne se passe plus une semaine sans que notre rédaction ou nos correspondants ne soient sollicités pour signaler des dépôts sauvages d’ordures. Les réseaux sociaux sont également inondés de ces photos d’amas qui défigurent le paysage. Au bout d’une rue, au détour d’un sentier, en bordure de champ, ils envahissent le territoire, à la ville comme à la campagne, avec une explosion des faits durant le confinement. Déjà abonné ? Se connecter
Pour autant, aujourd’hui encore, les constatations semblent plus nombreuses par rapport à 2016 au niveau national. Notre territoire n’échappe pas au phénomène. La semaine dernière, sur les réseaux sociaux, l’APPMA de l’Albarine - qui regroupe les pêcheurs du secteur - déplorait devoir se poser “en éboueur depuis des années, et le moins que l'on puisse dire, c'est que les quantités ramassées sont ahurissantes ! Dépôts sauvages en bord de rivière, dépôts routiers jouxtant l'Albarine et ses parkings, déchets récupérés au centre des communes… La liste est longue, et malheureusement ne...La suite est réservée à nos abonnés.
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