Une nouvelle fois, les deux communautés de communes de la Côtière ont dû se positionner sur la Zone à Faibles Émissions de la Métropole. Une nouvelle fois, elles se sont montrées défavorables.
Entrée en vigueur depuis le 1er septembre 2022 pour les particuliers, la Zone à Faibles Émissions de la métropole lyonnaise exclut déjà les véhicules diesels les plus anciens de son hyper-centre - à savoir Lyon, Villeurbanne, Vénissieux et Bron, à l’intérieur du boulevard périphérique. La Métropole envisage d’étendre cette zone aux territoires globalement situés entre la rocade est, l’A42, l’46 Nord et Sud et le boulevard urbain sud. C’est-à-dire aux portes de la Côtière. L’objectif de cette mesure est de réduire la pollution liée à l’automobile et ses répercussions sur la santé. Dans le cadre de la concertation, les intercommunalités de la Côtière à Montluel et de Miribel et du Plateau étaient invitées à donner leur avis sur le sujet. À chaque fois, celui-ci a été défavorable, bien que le tableau dressé ne soit pas complètement noir.
“Toutes les grandes capitales régionales renvoient sur l’extérieur tous les problèmes qu’elles ne veulent pas avoir chez elles.... Déjà abonné ? Se connecterLa suite est réservée à nos abonnés.
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