Active depuis le 1er septembre 2022 à Lyon, la zone à faibles émissions vise à limiter l’accès des véhicules particuliers les plus polluants. Pour la faire respecter, des mesures réellement coercitives devraient faire leur apparition à l’horizon 2024.
La métropole lyonnaise fait figure de précurseur en matière de zone à faibles émissions. Volontariste dans la lutte contre la pollution due aux véhicules, elle est active depuis le 1er janvier 2020 pour les professionnels. Concernant les particuliers, la métropole de Lyon n’autorise plus les véhicules les plus anciens (Crit’Air 5 et non classés)* dans son hypercentre depuis le 1er septembre 2022. Puis, au 1er septembre 2023, ce sont les Crit’Air 4 qui seront exclues. Progressivement, chaque année, une nouvelle catégorie de véhicules devrait être interdite, pour aboutir à une sortie complète du diesel au 1er janvier 2026 et la seule présence des Crit’Air 1 et des véhicules propres.
Baptisé “zone à faibles émissions” (ZFE), le périmètre concerne d’abord l’intérieur du périphérique lyonnais, comprenant Lyon, Villeurbanne, et en partie Bron et Vénissieux. Mais la ZFE devrait très rapidement s’étendre au-delà. Il y a quelques semaines, la majorité de la Métropole a présenté son projet complet, et notamment un...
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