Entre psychose et psychopathie, le Buissard Partrice Borjon sort un premier roman policier alimenté par son expérience professionnelle en hôpital psychiatrique.
Auteur d’un premier roman à 61 ans, Patrice Borjon a été de la première génération de retraités à subir le covid et le confinement. Néanmoins, “je suis quelqu’un qui se confine facilement”, affirme-t-il.
À la suite d’une carrière à l’hôpital psychiatrique de Bron, d’infirmier en proximité directe avec les patients à cadre de santé, lui qui pratiquait déjà d’autres arts, peinture à l’huile et guitare, a vu dans cette période le bon moment pour écrire. Depuis une quinzaine d’années, il avait ce roman dans un coin : “C’était toujours quelque chose qui me titillait, qui s’autoalimentait par mon expérience. Je piochais des choses dans la pratique, dans les côtés sombres des pathologies.” Dans ces conditions est né Le Primitif, thriller psychologique de quatre-cents pages. “Finalement, il a été facile à écrire.” Dans Le Primitif, on suit l’enquête du capitaine Cross à la poursuite d’un serial-killer. De la piste d’un psychotique, l’affaire le confronte en fait à un vrai psychopathe.
Cette œuvre permet à Patrice Borjon de marquer la différence entre psychose et...
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