Durant dix ans, un sursis à statuer permettra à la collectivité de surseoir à toute question d’urbanisme sur le Mas Rillier. Ceci afin de créer un projet de centralité.
Un périmètre de sursis à statuer, institué pour dix ans, a été approuvé en conseil municipal afin de soutenir un projet de centralité au Mas Rillier. Un dispositif qui constitue un “garde-fou” comme le décrit le maire, Jean-Pierre Gaitet, alors que la pression foncière est extrêmement forte sur le secteur avec de grands terrains disponibles à la construction dans le hameau. “On a de grandes zones qui sont viabilisables et constructibles et on peut se retrouver avec des bâtiments au milieu du Mas Rillier : ce n’est pas du tout notre but.” Plus précisément, le premier magistrat indique que “rien ne se fera dans la partie des écoles” et explique “sécuriser” la parcelle appartenant à l’évêché, “si jamais l’archevêché décidait de vendre, qui a quand même de la superficie…”
Ce sursis à statuer va laisser à la commune le temps de réaliser une étude urbaine opérationnelle qui visera, notamment, à renforcer la centralité du hameau et définir un projet d’aménagement global et cohérent assurant un développement urbain structuré et maîtrisé, structurer la...
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