Dans les coulisses de la course aux parrainages

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Dans moins de 70 jours maintenant se déroulera le premier tour de l’élection présidentielle. Mais pour cela, les politiciens en lice auront préalablement dû réunir les 500 signatures, sésame indispensable à toute candidature. Beaucoup de vos élus, potentiels parrains, font actuellement l’objet de toutes sortes de sollicitations. Qu’en pensent-ils ? Sont-ils tous favorables à ce système ? Qui avaient parrainé les élus de l’Ain lors de la précédente élection présidentielle ?

Lors de chaque élection présidentielle, le débat refait surface. Le principe des 500 signatures, indispensable pour se présenter, est-il un frein à la démocratie ? Au contraire, est-ce un garde-fou, efficace qui permet d’éviter que l’élection ne se transforme en véritable “foire d’empoigne” avec des dérives farfelues ?
Les avis divergent. Si le principe ne fait pas l’objet d’un rejet massif de la part des édiles, sa mise en œuvre et la transparence, qu’il impose de la part de ceux qui accordent leur signature, sont, en tout cas, toujours au cœur de nombreuses controverses. À tel point qu’il a été envisagé à plusieurs reprises de modifier ce préalable à l’élection présidentielle, mais jamais jusque-là les actes n’ont été joints aux paroles, même si le dispositif a connu plusieurs...

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