Alors que la pression s'accentue sur l'immobilier, avec des prix qui ont parfois atteint des sommets, nombre de ménages peinent à trouver une habitation en adéquation avec leurs besoins et leurs ressources. De la Côtière au Bugey, ce sont pourtant plusieurs milliers de logements qui restent inoccupés et ne sont pas mis à disposition sur le marché…
Dans un contexte de véritables tensions sur le marché immobilier, avec une offre bien souvent supérieure à la demande qui fait grimper les prix, le sujet de la vacance des logements refait surface. Un phénomène qui n'est évidemment pas nouveau, mais qui ne cesse de prendre de l'ampleur. Depuis le début de cette année 2021, la lutte contre la vacance immobilière s'inscrit ainsi parmi les enjeux fondamentaux des pouvoirs publics qui, en lien avec les collectivités locales, se doivent d'être garants d'une possibilité d'accès pour tous à un logement décent. Mais ce n'est pas vraiment nouveau en réalité, et c'est aujourd'hui plutôt un constat d'échec vis-à-vis des politiques précédentes engagées pour tenter de remédier à cette problématique. Il y a ainsi déjà un peu plus de deux décennies qu'une taxe incombant aux propriétaires de logements vacants a été instituée afin de dissuader ceux qui contribuent à amplifier un phénomène de rétention...
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