Arrivée à Dagneux en mars 2020, Tiffaine Crépin a débuté par une carrière d’infirmière en réanimation. Mais la dégradation des conditions d’exercice de son métier l’a poussé vers la pratique de la sophrologie. Elle a commencé par œuvrer au domicile de ses patients et va bientôt ouvrir un cabinet.
Pourquoi avoir choisi une nouvelle carrière ?
J’avais choisi le métier d’infirmière par vocation, mais peu à peu, ma motivation s’est usée face à la mauvaise évolution du métier : horaires difficiles, aucune reconnaissance, conditions de travail déplorables et salaire inadapté. J’ai fait une rencontre opportune avec une sophrologue, j’ai fait un gros travail sur moi-même pendant deux ans. Et puis mon conjoint a été muté du Pas de Calais dans la région et j’en ai profité pour changer de voie et faire une formation. C’était un challenge, un défi.
Comment se passe la formation ?
Il y a deux sortes de sophrologie, la caysienne, initiale, et inspirée des tout débuts et la mienne, non caysienne, la plus répandue sous l’égide de Catherine Arliotta, la référence de la sophro qui milite pour la reconnaissance et la réglementation. J’ai effectué une formation de six mois à l’institut de sophrologie de Lyon....
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