Il s’est formé tout seul et a formé nombre de ses collaborateurs. Hoa Kim de KH Tattoo est maintenant prêt à passer à l’étape suivante en proposant des stages de formation de tatoueurs et perceurs.
Depuis tout jeune, sa passion, c’est dessiner et son rêve, c’était de peindre et exposer ses toiles. Mais aujourd’hui, ses œuvres se promènent sur le corps des clients de son salon de tatouage. Pourtant, à l’origine, Hoa Kim, patron du salon KH Tattoo dans la Grande Rue, ne se destinait pas à une carrière de tatoueur. Quand il démarre dans cette discipline en 2003, il a une trentaine d’années. Un cousin lui demande de lui faire un tatouage et lui offre même le matériel. Depuis, il n’a pas arrêté. Pendant des années, il apprend en autodidacte, sur lui-même, sur des copains.
En 2008, il décide de quitter son travail chez un fabricant de climatiseurs pour ouvrir son shop. En novembre 2009, c’est l’ouverture de KH Tattoo. “J’ai commencé avec ma femme et ça s’est agrandi petit à petit.” Au moment d’embaucher, il fait confiance à de plus en plus de jeunes talents, qu’il formait sur le tas. Aucun diplôme d’État n’existe pour devenir tatoueur. Il leur fait travailler le côté artistique comme la technique, les règles d’hygiène ou le rapport commercial aux clients. Certains sont depuis partis exprimer leur talent...
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