
Depuis quatre ans, les habitants des rues du Trêve et de l’Escot à Montluel vivent dans la crainte que la maison à l’angle s’écroule. Excédés par une situation interminable, ils poussent l’intercommunalité (3CM) à agir.
Cela fait quatre ans que les habitants des rues du Trêve et de l’Escot, proches de la place Carnot, vivent avec cette gêne et cette crainte. Depuis avril 2016, à l’angle des deux voies, une maison est renforcée par d’énormes étais pour l’empêcher de s’effondrer. Classée pendant longtemps en état de péril imminent, celui-ci a été ramené depuis peu à un péril ordinaire, mais sans qu’un réel progrès ait été perçu par le voisinage. Au début, la mairie était en charge de ce genre de péril. Mais, depuis, la gestion de ce type de dossier est passée entre les mains de la communauté de communes. Entre-temps, le propriétaire, Thierry Doyen, habitant Lyon, a bien fait des travaux, puis a fait enlever les étais en juin 2017, le tout sans l’avis préalable d’experts. Ces contreforts sont donc vite revenus boucher la rue de l’Escot, où aucun véhicule ne peut monter, que ce soit pour y porter ses courses, se faire livrer ou laisser le passage aux services de secours.
Habitant au milieu de cette rue depuis six ans, et même si cela lui pèse énormément sur le moral, Mariette Teixeira...
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