Claudia Vallette vient d’ouvrir à St-Rambert un cabinet de réflexologie-naturopathie. Une activité qu’elle exerce à son domicile, à Grangeneuve. Rencontre.
Claudia Vallette, comment devient-on réflexologue ? C’est un long cheminement ?
En ce qui me concerne, j’ai terminé ma formation il y a déjà 4 ans et j’ai d’abord ouvert un cabinet à Saint-Maurice-de-Beynost. Cependant, mon mari et moi souhaitions nous installer à la campagne. Nous avons trouvé ici une maison en pleine nature, et j’ai donc décidé d’y transférer mon activité. Du coup, j’ai installé mon cabinet dans une des pièces. Mon cheminement est un peu particulier, puisqu’auparavant j’étais assistante dentaire. À l’époque j’ai découvert l’hypnose dentaire, j’ai eu le coup de foudre pour cette technique qui m’a conduit petit à petit à pratiquer des techniques de bien-être sans pharmacopée. J’ai choisi la réflexologie faciale et la naturopathie et j’ai effectué une formation de 2 ans à l’EIMDC (école internationale de multi réflexologie Dien Chang) de Lyon. J’ai également suivi une formation complète de naturopathie.
Pourriez-vous nous rappeler en quoi consistent exactement la réflexologie et la naturopathie ?
La réflexologie est une pratique qui se décline en plusieurs variantes. Il y a celle dite “plantaire”, “auriculaire”, ou “faciale”. C’est cette dernière que je pratique. Dans tous les cas il s’agit d’une technique qui permet au corps de se réguler lui-même, de puiser dans ses propres moyens pour retrouver la santé. Pour cela j’utilise les points d’acupuncture (sans aiguilles) et tous les points de représentation des organes, situés sur le visage, et je les stimule. Cela soulage le système nerveux et permet au corps de s’auto-réguler. La naturopathie utilise également la lithothérapie (travail des pierres), pour provoquer une énergie émotionnelle et un drainage lymphatique qui chasse les toxines. Les pierres utilisées sont l’améthyste, le jade, le lapis-lazuli. Les cataplasmes d’argile, une alimentation vivante composée de fruits, légumes et un apport calorique adapté font également partie de cette technique.
Pour lutter contre l’apparition des rides et sublimer la peau je pratique aussi ce qu’on appelle le lifting japonais. Cette technique travaille en profondeur les méridiens du visage. Elle permet d’oxygéner et de nourrir les tissus, d’éliminer les toxines et de renforcer la production naturelle de collagène et d’élastine.
Quel budget faut-il compter pour bénéficier d’une séance et combien de temps prévoir ?
Il faut compter 50 euros pour une séance d’une heure un quart. Et à raison d’une simple séance par mois les résultats sont rapidement probants.
Contact : claudia@o-hamani.fr